Congo, terre d’opportunités

Située en Afrique centrale, la République du Congo représente une vraie terre d’opportunités pour les affaires qui n’attendent plus qu’à être mises en valeur par des partenaires privés.

Des énergies fossiles à l’agriculture, en passant par le secteur des services, le Congo offre une panoplie de possibilités à saisir pour les investisseurs désireux de faire prospérer leurs activités.

Depuis quelques années, les autorités travaillent à offrir un environnement propice aux investissements dans divers secteurs d’activités, au moyen d’avantages et de facilités sur les plans fiscalo-douanier et foncier.

 

Le pays s’est doté de structures de promotion et d’accompagnement des investisseurs.

Sur ses 342.000 km2, le Congo dispose de dix millions d’hectares de terres arables propices à l’éclosion d’activités agricoles et par ricochet le développement d’une agro-industrie. Le pays possède un dense réseau hydrographique assorti d’une excellente pluviométrie sur l’ensemble du territoire national.

 

L’agriculture est pour la plupart pratiquée de manière artisanale dans les douze départements du Congo. Sa mécanisation permettra d’augmenter les superficies cultivables et la production agricole nationale.

Le Congo a l’avantage de partager avec les autres pays d’Afrique centrale les écosystèmes forestiers du Bassin du Congo qui constitue le deuxième poumon vert de la planète après l’Amazonie.

 

Le pays compte également des milliers d’hectares de forêts artificielles constituées en grande majorité d’essences d’eucalyptus, d’acacias, de sapins et autres.

 

La forêt congolaise qui représente 10% des forêts du Bassin du Congo, est une mine de richesses et d’emplois directs et indirects.

 

Elle constitue une ressource renouvelable et fait l’objet d’une attention soutenue des autorités qui ont mis en place une politique de conservation et de gestion durable des ressources florales et fauniques.

 

Si certaines concessions forestières sont dédiées à l’exploitation, d’autres par contre sont exclusivement consacrées à la conservation de la biodiversité à travers la création des aires protégées qui sont propices au développement de l’écotourisme.

On trouve partout dans le pays des aires protégées, des sites pittoresques et historiques qui offrent les conditions permissives au développement du tourisme et de l’écotourisme.

 

Dans la partie nord du pays, les touristes sont fascinés par la biodiversité et les nombreuses espèces fauniques (les pachydermes, les primates, les oiseaux, etc.) qu’hébergent les parcs nationaux d’Odzala Kokoua et Nouabalé Ndoki, les réserves de la Léfini et de Lessio Louna.

 

Dans la partie méridionale, le parc Conkouati Ndouli est une randonnée touristique fantastique, de même que les chutes de la rivière Loufoulakari, du barrage hydroélectrique d’Imboulou, la baie de Loango et la route des esclaves pour ne citer que ceux-ci.

 

Ici, l’un des objectifs visés est d’accroître l’attractivité de la destination Congo-Brazzaville et d’améliorer la contribution du secteur touristique dans le produit intérieur brut (PIB) du pays.

Il sied de relever que les infrastructures occupent une place de choix dans la politique d’investissements de l’État congolais.

 

Ainsi, les routes, les aéroports, et les édifices publics ont été construits dans les différents départements du pays, de même que les infrastructures de communication dans le cadre du projet de couverture nationale des télécommunications (à ce jour plus de 1.000 km de fibre optique ont déjà été déployés).

 

Le marché national des télécommunications compte une concurrence limitée (deux opérateurs privés de réseau mobile) pour une population qui atteindra 6 millions d’habitants en 2030.

 

Quant aux infrastructures de transport (aéroports, ports fluviaux dans le nord du pays et à Brazzaville sans oublier le port maritime de Pointe-Noire), elles permettent au Congo de mieux jouer son rôle dévolu de pays de transit dans la sous-région et dans toute l’Afrique dans le cadre de la zone de libre-échange continentale africaine.

 

Ces infrastructures et bien d’autres favorisent les conditions d’exportation et d’importation des produits.

S’agissant du sous-sol congolais, l’on peut souligner le fait que les mines solides demeurent à ce jour en attente de développement. Conscient de cela, le gouvernement a mis sur pied un cadre juridique incitatif aux investissements. Le code minier qui vient d’être révisé, accorde un éventail d’avantages aux investisseurs. Les réserves congolaises sont encore non évaluées, mais de nombreuses études font d’intéressantes projections.

Comme celui des mines, le code des hydrocarbures a également fait l’objet d’une révision. Question de l’arrimer aux mutations intervenues dans le secteur, l’un des plus stratégiques de l’économie nationale.

 

Le nouveau cadre juridique consacre des facilités aux investisseurs appelés à s’engager dans les blocs pétroliers ou gaziers dans le bassin côtier, mais également dans la partie septentrionale du pays où de nombreux gisements peuvent désormais être exploités sur la terre ferme.

 

Le pétrole est la première ressource d’exportation du pays.

Partenariats public-privé de référence

Dans le souci de garantir une gestion durable et efficace de bon nombre de ses infrastructures, la République du Congo a signé avec différents opérateurs économiques des partenariats public-privé.

Parmi ceux qui sont encore en vigueur, les plus emblématiques sont :

Port de Pointe-Noire

Bolloré Logistics a obtenu en 2009 le contrat de mise en concession de cette infrastructure maritime pour une durée de 27 ans. Sur ce projet, on compte aussi le danois AP Moller et le congolais SOCOTRANS

Aéroports du Congo

AERCO est chargée depuis 2011 de gérer les aéroports de Brazzaville, de Pointe-Noire et d’Ollombo pour une durée de 25 ans, selon les normes internationales.

La Congolaise des Routes

C’est à la suite d’un appel d’offre international de mise en concession de 30 ans que La Congolaise des routes a été choisie pour s’occuper de l’entretien de la route (RN1), de sa sécurisation et des services.

Pefaco

C’est la filiale hôtelière d’une holding espagnole. Elle exploite actuellement deux hôtels de haut standing au Congo : un à Brazzaville (Pefaco Hotel Maya-Maya) et un autre à Oyo (Pefaco Alima Palace).

Averda

Cette entreprise collecte, recycle et de traite les ordures ménagères et industrielles au Congo. Ses activités ont commencé en 2015 à Brazzaville, avant de à Pointe-Noire, puis à Oyo.

Grand Hôtel de Kintélé

En 2019, Gaeur Hospitality a repris le Grand Hôtel de Kintélé, dans le cadre d’un partenariat public-privé. Cet établissement hôtelier de 200 chambres est lié au Centre international de conférence de Kintélé.

Fichier à télécharger

Lettre du cabinet

Contacts

1, Avenue Félix Eboué,
Centre-ville, Brazzaville,
Rep. du Congo

Rejoignez-nous

Vous pouvez suivre toute notre actualité à travers nos différentes pages sur les réseaux sociaux.

MCIPPPP – Powered by ADN © 2021. Tous droits réservés